Des tatouages et des trophées

Les tatouages sont devenus au cours des dernières décennies un phénomène de mode. Les footballeurs n’échappent pas à cette tendance et certains ont dessiné sur leur corps les trophées qui ont marqués leur parcours sur les pelouses.

Les trophées remportés avec les sélections ont la côte. Materazzi porte sur l’un de ces biceps le trophée de la coupe du monde remportée en 2006 face aux Bleus, tandis Ramos (champion du monde 2010) porte la même image sur l’un de ces mollets. Le gardien italien Donnarumma (Euro 2020) et l’Argentin Di Maria (Copa Libertadores 2021) ont leur victoire avec leur sélection respective gravé dans leur chair. Les Français ne sont pas en reste, comme le milieu de terrain Corentin Tolisso qui avait prévu de se faire tatouer le trophée de la coupe du monde après le succès des Bleus en 2018.

Les succès en clubs, en notamment dans les épreuves européennes ne sont pas en reste. Ramos, toujours lui, a utilisé son mollet gauche (le droit portant la coupe du monde), pour le trophée de la Ligue des champions, tout comme l’Anglais James, vainqueur de la Ligue des Champions avec Chelsea en 2021. Mourinho, entraîneur à succès avec le FC Porto, l’Inter Milan, Manchester puis la Roma, a tatoué les trois trophées européens qu’il a remporté sur le haut de son bras droit (C1 en 2004 et 2010, C3 en 2003 et 2017, C4 en 2022).

Le portier belge Courtois, vainqueur de la Ligue des Champions avec le réal Madrid en 2022 et auteur de nombreux arrêts lors de la finale, a fait dessiné sur son bras le trophée devant un but protégé par un mur de brique portant ses initiales et son numéro

Mais les succès nationaux ne sont pas oubliés. James Maddison, vainqueur de la Cup avec Leicester en 2021, ou encore Kevin Grosskreutz, auteur du doublé coupe-championnat en Allemagne en 2012 avec le Borussia Dortmund (mais aussi la coupe du monde en 2014), portent maintenant une trace de leurs succès sur le corps.

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